Titre : Nos cœurs en chute libre
Auteur : Valentine Stergann
Éditeur : Hugo Roman
Date de parution : À paraître !

Résumé : Passer une semaine en camping avec la bande de potes de sa meilleure amie ? C’est la définition de l’enfer pour Félicie ! Retrouver l’homme le plus beauf qu’elle ait jamais vu, la peste de service qui se moque toujours de son surpoids et son ex un peu lourdaud sur les bords, ça ressemble bien à un traquenard. Sauf qu’une promesse est une promesse, donc elle ira, même en traînant des pieds.
Alors quand Andrès, le petit nouveau du groupe, lui fait comprendre qu’il ferait bien d’elle son quatre-heures, elle reste sur ses gardes. S’il est à tomber, c’est surtout un parfait inconnu qui ne se dévoile pas beaucoup. Ce genre d’homme, Félicie s’en méfie. Elle n’acceptera plus d’être blessée comme elle l’a été dans le passé.
Mais si pour avancer, Félicie devait enfin lâcher prise et sauter dans le vide avec lui, main dans la main ?
Mon avis: Un roman qui m’a accompagné durant mon périple en Europe. J’ai eu la chance de rencontrer l’auteure et elle est vraiment sympathique. Pour ce qui est de l’histoire, je dois être honnête et vous dire que ce fût impossible pour moi d’embarquer à 100% avec eux durant ce périple. Tout d’abord, Félicie est tout près d’avoir la trentaine et les agissements, les péripéties qui surviennent m’ont laissé croire que j’étais en compagnie d’une bande d’adolescents plutôt que d’adultes. De plus, je comprends l’insécurité de Félicie, mais je trouve qu’on revient trop souvent sur ce point. Elle n’est pas bien dans sa peau, manque de confiance en elle, envers les autres, mais la répétition de ces points a rendu ma lecture lourde. J’aurais préféré qu’on y aille plus en profondeur, qu’on apprenne à mieux connaitre les personnages secondaires plutôt que de simplement remettre tout autour du poids et le manque de confiance du personnage principal.
Reste que c’est mon avis plus que personnel, car je suis certaine que ce roman saura toucher plusieurs personnes vivant avec les mêmes insécurités que Félie.
Pour ma part, je suis restée sur ma faim.