Titre : L’albatros et la mésange
Auteur : Dominique Demers
Éditeur : Québec Amérique
Date de parution : Mai 2019
Résumé : Mélodie et Jean-Baptiste ont 17 ans. Il vit au sein d’une famille nombreuse; elle cohabite avec sa mère. Mélodie tente de survivre à une peine d’amour dévastatrice; Jean-Baptiste lutte contre une éducation religieuse envahissante. Elle prend ses études à cœur; il se donne tout entier à son projet sur l’éthologie, l’étude du comportement des animaux. Ils apprendront à s’apprivoiser sous l’ombre des grands arbres du mont Royal, partageant leurs découvertes et leurs révoltes en ce printemps des oiseaux.
Dominique Demers nous livre un roman empreint de passion. Son récit touchant aborde avec une grande sensibilité la réalité de deux adolescents, lui surdoué, elle déchirée, tout en réussissant à approfondir des sujets universels, brûlants d’actualité, qui sauront conquérir tous les lecteurs.
Mon avis : Quel bon livre! Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais la plume de Dominique Demers m’a conquise de chapitre en chapitre.
Une histoire poignante, tendre autant que remplie d’ardeur. Je me suis énormément attachée à la sauterelle et le zèbre (Ça aurait pu être le titre ‘’Le zèbre et la sauterelle’’) qui sont les deux personnages principaux, soit Mélodie et Jean-Baptiste. Leur histoire est différente l’une de l’autre, mais ils ont tout en commun en même temps.
Un roman où se lient d’une manière exceptionnelle les opposés. Où l’amour et la colère vont de pairs. L’ensemble du contenu vient te chercher droit au cœur. Un récit rempli d’émotions vraies, de valeurs cruciales et surtout empreintes de bonté et de solidarité.
Bref, un roman qui porte à réfléchir, qui explose d’émotions profondes et un texte où les mots dansent et chantent. Une histoire aussi belle que bouleversante qui sera venir te toucher en plein cœur.
Je ne suis pas cette auteure depuis des années pour rien. Ses romans sont un amalgame de phrases mélodieuses et de valeurs fondamentales.
C’est beau. C’est bon. C’est un coup de cœur.
Une réflexion sur “L’albatros et la mésange_DominiqueDemers”